Installation in situ de Silhouettes peintes dans l’échiquier en topiaire du jardin du Soleil ( parc du château d’Ambleville Val d’Oise ) pour une tentative de reconstitution de l’état de l’échiquier au dernier coup de l’Immortelle.
Découpe de silhouettes peintes grandeur nature. Chaque silhouette représente une pièce du jeu d’échecs. Ces silhouettes dont les bords colorés, denses, en dégradé vers l’intérieur, renvoient à la problématique de la limite du dessin utilisé dans la série des Multiportraits de 2001, présentent : sur le recto : le pochoir d’un système nerveux poétisé ( voir la série des Ecorchés 2003 ), sur le verso : une surface en tirets de monochrome, ou plus exactement, une couleur, plus du noir et du blanc ( voir la série des Tirets de 1989 et la Série des Unichromes de 1992 ). La tête est construite à partir des formes issues de la nouvelle codification.
